i’m sending a raven with blood on its wings (berlioz)

berlioz amadeusft. tamaki amajika (mha)

if you get to me too late just know that I tried

âge :20 ans

date de naissance :06.09.94

cursus :droit.

profession : recherche d'emploi
(aussi au club de théâtre)

logement :galet blanc

finances :$$

taille :175cm

couleur :#9b84c9

avatar réel :non renseigné
(facultatif)

semble froid et lassé - franc - dur - simplement un peu distant - très empathique ( au point d'avoir mal) - calme - sérieux - ne rit pas beaucoup - taciturne- complétement instable - nerveux - fragile - dévoué - semble vouloir à tout pris tenir ses émotions en échec - effacé - observateur - silencieux - perspicace - tendre - secret - intransigeant - mignon - patient - tantôt compatissant, tantôt hostile - déteste pleurer - studieux - destructeur - autodestructeur - crise de panique - ptsd - endommagé - rêveur - frileux - gourmand - mais petite faim - amer - curieux - profondément têtu

il aime à en crever - il haït à en tuer - il aime lire - la nature, les fleurs, tout ça, ça l'apaise - aime que justice soit rendue - pas dutout matérialiste - sait jouer du violon, mais n'en possède pas- mémoire eidétique - fait des cauchemars - à souvent l'impression d'être suivit... ou simplement hanté, il sait pas trop - peur des fantômes... - inconfortable à la vue du sang - aucun sens de l'orientation, mais genre vraiment hin - du genre à avoir une plante verte et un poisson rouge comme compagnies - il a souvent froid, très froid - ressent constamment un manque, une case vide - écrit très petit - à fréquemment des coups de foudre - a un glitch a son œil gauche, parfois il perd la vue - secrètement passionné par les animaux marins

Socialement, berlioz est plutôt mal à l'aise. Il manque cruellement de confiances en lui et a une faible estime de soi. C'est une jeune homme maladroit stressé de la vie qui parle vite, trop vite. Il bégaye souvent, perds ses mots et s'emporte rapidement. c'est pour ça d'ailleurs qu'il va au théâtre. Il est du genre sensible aux remarques au point de se frustrer facilement ou de ne pas savoir retenir ses émotions. Il a également la larme facile, mais fait toujours de son possible pour les retenir en reniflements bruyant. Clairement berlioz a un petit complexe d’infériorité qui a tendance à le rendre pessimiste des lors que quelqu'un lui fait remarquer ses faiblesses, qu'il prends pour des critiques personnelles. Et c'est sûrement à cause de ce complexe là que le jeune homme cherche constamment approbation envers ses paires. En plus de ça, il a peur d'être oublier, d'être abandonner. Il a peur qu'on le rejette constamment et pour cause, il essaye de garder ses amis toujours au plus proche, n’hésitant pas a faire passer ses derniers avant ses propres désires.

bio :

(0)

l’impensable.
l’inattendu.

né d'un rien, au delà des souhaits. un peu comme une crainte, une maladie. il est venu, s'est accroché. très fort, à tout jamais. il a tenu le coup. rien n'était facile. on l'a jeté, dégagé, abandonné, avant même d'être né.
déchiré entre la vie et la mort,
il choisis la vie, légèrement
indécis.

était-ce le bon choix?

depuis les débuts, depuis les prémisses.
l'indésiré désire.

(1)

il faisait tout pour être parfait. berlioz
il disait toujours oui, sans remord, sans soucis.
il devait rester désarmé, à sa merci
pendant des années, son père lui avait apprit
qu'il fallait hocher la tête, faire comme les otaries.
il fallait être docile, sage et montrer bon profil.
exécuter les tours qui lui avait apprit, les sauts, les galipettes

un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept
"ne me déçois pas."

mais il y avait toujours quelque chose qui n'allait pas.
quelque chose de travers, ou de trop droit. un peu trop ci, un peu trop ça. jamais à son gout, jamais dans l’excellence. alors les fautes étaient marquées, gravées à même la peau.
d’abord avec des coups de la couleur du ciel, puis du vermeil à rouge fusion. la couleur de la passion.

celle de l' amour et de l'éducation.

il était dans ses bras, souffreteux
et c'était comme ça, qu'il les aimait
faible et délaissé
abandonné, agonisant.
il lui donner alors l'amour d'un adulte,
celui dont on prive les petits pour préserver l’innocence
...

(2)

puis vint la délivrance
une rencontre.
yeux dans les yeux, une étincelle.
un rire, un éclat maladroit, suivit de sanglot.
jamais il n'avait encore pleuré, pour de vrai.
jamais à ce point.
jamais à en crever.
la lourdeur du sel sur ses joues lui on à jamais gravé le cœur.

c'est quand il a put contempler le ciel,
plus d'une journée
en levant les yeux, où juste là, à ces côtés.

nous ne vivions pas dans le même monde, mais nous sommes sous le même ciel.

qu'il comprit que les choses aller changer
que le bleu de ses flancs allaient s'effacer
que ses cotes cassées et ces marques s'envoleraient
il serait libre, berlioz, libre de vivre, libre de désirer
longtemps et à jamais.

(3)

berlioz fut sauver, par la justice. la vraie. pas celle dont on parle dans les films, ni celle dont on fait les éloges dans les journaux. non. là je vous parle de celle qui se bat, qui martèle avec des mots, qui enroule les méchants dans des camisoles de preuves. pour berlioz, rien ne peut arrêter la justice, pas quand celle ci est menée à bien.

le reste n'est que joie et amusements. berlioz se découvre, entièrement. il grandit comme n'importe quel garçon de son âge, il apprend à rire, à s'épanouir. il se fait des amis, très vite. en des claquements de doigts. bizarrement, c'est facile pour lui. c'est qu'il est un peu dans le déni. il trouve sa place dans le mensonge, dans le faux, repoussant inlassablement ce passé dont il était - à ce jour - la seule victime.

au fur et à mesure que le temps passe, berlioz oubli,
ou se convint d'oublier.
il a un père, et une mère.
ils ne se ressemblent pas mais c'est tout comme dans son cœur et c'est à priori ce qui compte. personne ne pose de question. personne n'est assez curieux. il est jeune et nonchalant, un adolescent sage et compatissant.
il a avec lui son meilleur ami, son ange gardien.
il lui dit tout. même ce qui n'est plus censé exister, quelque fois, s'exclame en sanglot ravagé par la peur, des sensations qui lui déchire la peau. ce ne sont que des mots, qui résonnent, des messages porter par des corbeaux à corps blanc. des flashs reminiscents. ça le dévore de l’intérieur. il ne veut plus y penser mais garder le secret pour lui, lui donne l'impression de l’assassiner. alors comme seul remède, l'aveu, déchirant, tortueux, qui le noie dans les tréfonds de la honte. il n'est rien, tellement rien. il a besoin de confort, d'un sentiment sincère, et jusqu'alors, ciel était le seul à pouvoir le lui donner.

(4)

pendant des années, berlioz était le préféré.
les blagues, les rires, c'est lui qui les fournissaient.
un ami, un vrai.
un qu'on n'oublira jamais, un que l'on garde près de soit.
berlioz était tout ce que tout le monde rêvé. attentionné, drôle, avenant, fêtard, beau garçon. il faisait chavirer les cœurs pendant que le sien continuer de se soigner. cela faisait des années, qu'ils n'avaient pas parlé de ce fameux sujet. presque oublié, un peu enterré. plus de rêves noirs, plus de peine ou de peur. juste une vie remplie, qui passe et qui passe, main dans la main avec une bien-aimée.

quelque chose de simple.
de mignon, comme dirait l'autre.
ils se tiennent la main.
elle lui parle dans l'oreille, elle lui mange parfois le cou, mais pas de marque.

I҉L͟͜͠ ̸͏ D҉͜É̀҉̢T̛̕ÈS͜T͏͡E̛͢ ̨͞ L҉̶҉ES͏̵͢ M̧͝A̸Ŗ҉Q͡Ų̵ES̛

alors oui, parfois, ils se disputent. mais aux yeux du monde.
ils sont parfait. amoureux qu'ils disent.
fait l'un pour l'autre.
~~à quelque détails près.~~

(5)

un jour, ciel disparu.
du jour au lendemain, plus aucun toit pour le couvrir, personne pour lui tenir la main durant les temps difficiles. berlioz panique. il redécouvre l'hantise du passé, ce délaissement douloureux. aujourd'hui, il ne se rappel plus du pourquoi du comment. c'est si flou. mais dans sa tête, c'est de sa faute. la sienne et personne d'autre. il est coupable de tout. coupable jusqu'aux os. il se sent si seul. et l'être aimée ne peut rien faire pour lui. non. elle ne comprend pas.
ne comprendra jamais.
il a la langue scellée, les mots venimeux qui lui gangrène la gorge.
elle a le cœur en deux, la larme facile.
il ne peut rien lui dire. à elle.
elle est trop... trop différente.
trop encombrante.
elle lui en demande beaucoup, tout le temps.
et il y a toujours quelque chose qui ne va pas.
quelque chose de travers, ou de trop droit. un peu trop ci, un peu trop ça. jamais à son gout, jamais comme il faut...

même schéma.

alors berlioz agis.
toutes griffes dehors, comme un vrai diable.
il perd le contrôle, pète un câble.

a cause de cette brulure au crâne qu'il ne pouvait plus supporter, berlioz fit un mouvement en avant. il savait que c'était stupide, qu'il ne se débarrasserais pas de cette terrifiante douleur en faisant ce qu'il s'apprêtait à faire. mais il a fait un pas, un seul pas en avant. et cette fois encore, l’œil rond de surprise, l'être aimée s'est mise à pleurer. au même instant, la sueur amassée de cette fièvre virulente vint couleur sur les joues de berlioz d'un voile tiède et salé. on aurait dit qu'il pleurait lui aussi, et à chaudes larmes... il ne sentait plus que les symphonies de folies exploser dans sa cervelle et, indistinctement, un couteau jailli en face de lui. cette lame brulante rongeait ses doigts et c'est alors que tout a bascullé. il lui a d'abord semblait entendre des demandes de pitié, des "je t'aimes tellement" tremblants jetés dans la mêlé, mais au final, berlioz n'entendait qu'une seule vérité, en deux simples mots distinct;

fais le.

tout son être fut tendu de douleur et il a crispé sa main sur le manche de son couteau. la lame a tranché, planté. il a touché le ventre, l'épaule, la poitrine. il n'y avait pas de règle à suivre, ni de point bien spécifique à atteindre. c'est là, dans ce bruit, à la fois gras et déroutant, que tout s'est fini. il a comprit qu'il avait détruit l’équilibre de cette justice dont il s'était juré de servir. alors, il a planté encore trois fois dans ce corps inerte, où la lame s’enfonçaient si facilement...

quand tout fut fini, berlioz lâcha simplement prise et aucune larme ne vint s'inviter dans ses yeux vides. au contraire. il lui sourit, avec une sorte de complicité. un rictus presque amoureux, dépassé, lassé par ce qui n'est plus et qui ne fut jamais. un seul souvenir frappa ensuite l'esprit dérangé de berlioz, une phrase, une image floutée par le désir et la peur. ciel. son ami. qui lui parle de quelque chose de simple, d'anodin. un jeu. ojisatsu.
alors après avoir appeler la police, se livrant sans regret, il s'installa à son bureau, les mains encore ensanglantées. il se créa un compte, créa son personnage et fut avaler presque aussitôt, sans un mot.

pseudo : ici.
âge : 23 ans
découverte du forum : une karotte m'a montré le way
smiley préféré : i’m sending a raven with blood on its wings (berlioz) 1899627481

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pnj favori : ~~jin, peter~~ andreas et omori ( et un peu ariel aussi) i’m sending a raven with blood on its wings (berlioz) 540796477

plus ? : j'préviens j'vais expérimenter des trucs sur berlioz, rp parlant.
tapis j'crois c'est un gros méchant chat.

je l'aime si fort ...
attends faut que je te valide ?
faut que je m'en remette un peu ... et je te validerai.
je crois.
oui.
il est parfait.

félicitation !on est tellement fiers...

t'as assurétout.
absolument.
tout.
est.
parfait.
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vraiment. il est tellement merveilleux ? je reconnais totalement ta patte - bon j'ai une petite vibe de n qui ressort de mes vieux souvenirs poussiéreux aussi - et du coup ça me fait tout bizarre / bien. du bizarre bien ouais. j'avais lu ta fiche hier, mais je l'ai quand même relue aujourd'hui, et je la relirais encore et encore et encore. ça valait le temps d'attendre, tu l'as rendu si profond et passionnant j'm'en remets pas je jure ...
i’m sending a raven with blood on its wings (berlioz) 920527646

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pour t'aidervoici une liste de liens qui t'aideront à te retrouver pour débuter sur le forum.
- recensement global, un endroit où il faudra obligatoirement passer pour être noté dans tous les listings.
- fiches de relations, si tu veux pouvoir commencer à rp avec les pnjs, on exigera de toi qu'elle soit postée également ! le premier post, récapitulant tes relations avec les pnjs, est obligatoire, pour les suivants, tu peux prendre tout ton temps.
- chronologie, il est tout de même mieux de tenir une petite liste des choses que tu as fait, pour les retrouver facilement.
- demander un rp, si tu as du mal à trouver un partenaire, tu peux te rendre ici !
- profil, pas de lien, cette fois, mais nous te rappelons de bien remplir ton profil !
bienvenue à toi, sur ojisatsu !
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