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Ombeline V. Delaunay- Arrivée : 26/08/2018
Messages : 392
Avatar : Marinette Dupain-Cheng (Miraculous Ladybug)
Avatar réel : Bethany Joy Lenz
Crédits : Kendall
Multicomptes : Ombeline V. Delaunay
Thanos Theofylaktos
Logement : Aux Azalées
Cursus : Evénementiel
Occupation : Secrétaire d'un détective privé
Date de naissance : 26/08/1992
Age : 31
Couleur : #c8d5b4
Thèmes :
Jon Bellion - Guillotine
Ed Sheeran - Photograph
Pts : 698
→ Fait de la boxe thaï, française et anglaise.
→ Aime un peu trop les fleurs.
→ Cuisine de manière passionnée. Elle aurait du être cuisinière mais elle s'est réorientée.
→ Ne sait pas nager.
→ A une collection d'éventails.
→ Fait toujours attention à ce qu'elle porte.
→ Est paradoxale.
→ Se mord la lèvre quand elle est embêtée. Se ronge le pouce droit quand elle est stressée.
→ Est accro au café. Noir. Sans sucre. 
⌈ k u r e i ⌋ What's wrong with being confident ?
Jeu 30 Aoû - 19:23
What's wrong with being confident ?
Tu n’es pas quelqu’un de complètement idiote, t’es même plutôt intelligente comme nana. Tu as embrasé ton cursus avec une passion naissante qui ne tu n’as plus jamais quittée depuis. Alors, lorsque tu as eu ce travail à faire, tu n’as pas seulement voulu qu’il soit théorique, tu as décidé de réaliser ton projet.
Du coup, tu t’es mise en quête des choses les plus importantes : un lieu, un traiteur, un musicien et un graphiste. T’as un peu de budget cette fois, c’est un café de la ville qui t’as sollicité pour faire cet évent. Et ça te plaît bien, ça veut dire que les différents coups de main que tu as donnés à droite et à gauche t’ont aidé. Alors tu ne factures pas quelque chose d’extraordinaire mais au moins, tu te fais ta place.
Et pour la musique, tu as bien une idée. Tu l’entends chanter parfois, quand tu passes près des salles de répétitions ou bien encore lorsque tu es dans votre résidence. Elle vit au premier étage, toi au second. Mais vous vous croisez. Poliment. Tu n’oserais pas venir la déranger chez elle et comme tu n’as pas son contact direct, la meilleure option est de passer par la salle de répétition.
Alors, ce jour-là, tu franchis le pas. C’est toujours encore un peu intimidant pour toi de dealer directement avec les artistes, tu n’as jamais été cadrée. Mais tu te dis que ça va, tu es grande, tu peux le faire. Tu n’es pas une idiote, il n’y a pas de raison que ça capote.
Tu avais prévu ce rendez-vous alors, ce matin-là, tu as décidé de t’habiller en conséquence : une jupe fourreau, un chemisier blanc, une paire de Dr. Martens à talons et ta veste en cuir. Ce côté paradoxal de ta personne, capable de porter une tenue complètement professionnelle tout en additionnant cette particularité.
Tu arrives à l’heure devant la salle de répétition et jette un œil à ta montre. Elle est là, tu l’entends chanter. Sa voix est géniale et tu es sûre que tu pourrais faire quelque chose avec elle. Tu attends jusqu’à la fin du morceau et tu approches. Tu cognes deux fois contre la porte et passe finalement une tête.
« Bonsoir, Mademoiselle Kenaku. Je peux vous déranger quelques minutes ? »
Tu n’as pas non plus envie de t’imposer. Peut-être te demandera-t-elle simplement de repasser plus tard. Ou peut-être ne te laissera-t-elle-même pas le temps de t’expliquer. Mais tu te dois de tenter le tout pour le tout.
Du coup, tu t’es mise en quête des choses les plus importantes : un lieu, un traiteur, un musicien et un graphiste. T’as un peu de budget cette fois, c’est un café de la ville qui t’as sollicité pour faire cet évent. Et ça te plaît bien, ça veut dire que les différents coups de main que tu as donnés à droite et à gauche t’ont aidé. Alors tu ne factures pas quelque chose d’extraordinaire mais au moins, tu te fais ta place.
Et pour la musique, tu as bien une idée. Tu l’entends chanter parfois, quand tu passes près des salles de répétitions ou bien encore lorsque tu es dans votre résidence. Elle vit au premier étage, toi au second. Mais vous vous croisez. Poliment. Tu n’oserais pas venir la déranger chez elle et comme tu n’as pas son contact direct, la meilleure option est de passer par la salle de répétition.
Alors, ce jour-là, tu franchis le pas. C’est toujours encore un peu intimidant pour toi de dealer directement avec les artistes, tu n’as jamais été cadrée. Mais tu te dis que ça va, tu es grande, tu peux le faire. Tu n’es pas une idiote, il n’y a pas de raison que ça capote.
Tu avais prévu ce rendez-vous alors, ce matin-là, tu as décidé de t’habiller en conséquence : une jupe fourreau, un chemisier blanc, une paire de Dr. Martens à talons et ta veste en cuir. Ce côté paradoxal de ta personne, capable de porter une tenue complètement professionnelle tout en additionnant cette particularité.
Tu arrives à l’heure devant la salle de répétition et jette un œil à ta montre. Elle est là, tu l’entends chanter. Sa voix est géniale et tu es sûre que tu pourrais faire quelque chose avec elle. Tu attends jusqu’à la fin du morceau et tu approches. Tu cognes deux fois contre la porte et passe finalement une tête.
« Bonsoir, Mademoiselle Kenaku. Je peux vous déranger quelques minutes ? »
Tu n’as pas non plus envie de t’imposer. Peut-être te demandera-t-elle simplement de repasser plus tard. Ou peut-être ne te laissera-t-elle-même pas le temps de t’expliquer. Mais tu te dois de tenter le tout pour le tout.
(c) kendall
Kurei Kenaku- Arrivée : 25/08/2018
Messages : 34
Avatar : Jabami Yumeko (Kagegurui) | artiste : CGlas
Crédits : Bâton
Logement : Les azalées
Cursus : Criminologie
Occupation : Leader du groupe de musique
Date de naissance : 21/12/1996
Age : 27
Couleur : #7f190a
Pts : 186
Re: ⌈ k u r e i ⌋ What's wrong with being confident ?
Ven 31 Aoû - 19:01
Si vous pensez qu’une voix comme la sienne est juste innée et ne demande aucun travail derrière, vous vous trompez. Kurei ne l’a pas eue du jour au lendemain dans un claquement de doigts. Certes, le potentiel était là, mais vous l’auriez entendue il y a quelques années, c’était une autre histoire. Aussi loin qu’elle se souvienne, elle a toujours chanté. Pourtant, elle a parfois l’impression que ça ne fait pas si longtemps que ça… Une autre de ses bizarreries.
Ce jour-là Kurei exerçait sa voix seule. Ce n’est pas si rare, pour que tout soit parfait pour les membres de son groupe, il faut que sa voix le soit. Ils ont bien assez à travailler sur d’autres points plus importants lorsqu’ils sont tous ensemble. Et puis, dans ces moments-là, elle peut bien s’énerver, pester toute seule, débattre avec l’entité qui la hante pour qu’elle la laisse en paix le temps de l’entraînement, personne ne l’entendra. Personne ne la jugera. Ce n’est pas parce qu’ils ont l’habitude de l’entendre parler toute seule qu’elle doit se laisser aller.
Elle venait de finir, ponctuant sa séance par une petite chanson très simple mais qui peut en dire long sur son état. Là, il s’agissait d’une chanson relativement joyeuse, ses exercices s’étaient bien passés, elle n’avait qu’une hâte, retrouver ses chouchous pour continuer à avancer sur les musiques qu’ils ont composé dernièrement. Même après avoir finis, elle continuait à chantonner. Et puis des tocs sur la porte. Dans un premier temps, elle pensait que ce serait l’un des membres de son groupe qui était venu la voir à la fin… Mais non. Il s’agissait d’une jeune femme qu’elle avait déjà vu dans sa résidence. Elle semblait bien apprêtée, quand on pense que Kurei n’a qu’un simple T-shirt blanc et une jupe noire lui arrivant en dessous des genoux.
« Bonsoir, Mademoiselle Kenaku. Je peux vous déranger quelques minutes ?
- Bien sûr, dit-elle d’une voix douce, je venais de terminer. Qu’y-a-t-il ? »
Ce n’est pas la première fois que quelqu’un vient discuter avec elle à la fin de ses exercices. Ou qu’une personne vienne la voir. La place de leader du groupe de musique aide à être connue, j’imagine.
Ce jour-là Kurei exerçait sa voix seule. Ce n’est pas si rare, pour que tout soit parfait pour les membres de son groupe, il faut que sa voix le soit. Ils ont bien assez à travailler sur d’autres points plus importants lorsqu’ils sont tous ensemble. Et puis, dans ces moments-là, elle peut bien s’énerver, pester toute seule, débattre avec l’entité qui la hante pour qu’elle la laisse en paix le temps de l’entraînement, personne ne l’entendra. Personne ne la jugera. Ce n’est pas parce qu’ils ont l’habitude de l’entendre parler toute seule qu’elle doit se laisser aller.
Elle venait de finir, ponctuant sa séance par une petite chanson très simple mais qui peut en dire long sur son état. Là, il s’agissait d’une chanson relativement joyeuse, ses exercices s’étaient bien passés, elle n’avait qu’une hâte, retrouver ses chouchous pour continuer à avancer sur les musiques qu’ils ont composé dernièrement. Même après avoir finis, elle continuait à chantonner. Et puis des tocs sur la porte. Dans un premier temps, elle pensait que ce serait l’un des membres de son groupe qui était venu la voir à la fin… Mais non. Il s’agissait d’une jeune femme qu’elle avait déjà vu dans sa résidence. Elle semblait bien apprêtée, quand on pense que Kurei n’a qu’un simple T-shirt blanc et une jupe noire lui arrivant en dessous des genoux.
« Bonsoir, Mademoiselle Kenaku. Je peux vous déranger quelques minutes ?
- Bien sûr, dit-elle d’une voix douce, je venais de terminer. Qu’y-a-t-il ? »
Ce n’est pas la première fois que quelqu’un vient discuter avec elle à la fin de ses exercices. Ou qu’une personne vienne la voir. La place de leader du groupe de musique aide à être connue, j’imagine.
- Ombeline V. Delaunay
- Arrivée : 26/08/2018
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Jon Bellion - Guillotine
Ed Sheeran - Photograph
Pts : 698
→ Fait de la boxe thaï, française et anglaise.
→ Aime un peu trop les fleurs.
→ Cuisine de manière passionnée. Elle aurait du être cuisinière mais elle s'est réorientée.
→ Ne sait pas nager.
→ A une collection d'éventails.
→ Fait toujours attention à ce qu'elle porte.
→ Est paradoxale.
→ Se mord la lèvre quand elle est embêtée. Se ronge le pouce droit quand elle est stressée.
→ Est accro au café. Noir. Sans sucre.
Re: ⌈ k u r e i ⌋ What's wrong with being confident ?
Ven 31 Aoû - 19:37
Havana oulala.
Tu observes la jeune femme. Tu la savais belle mais, peut-être pas à ce point. Elle est magnifique, ses cheveux ont l’air tellement parfait. Tu l’envies, un peu. Parce qu’elle est super belle. Qu’elle a une superbe voix. Mais tu n’es pas en reste, tu as des qualités aussi. Pas les mêmes, c’est sûr. Mais tu tâches de garder ce brin de confiance en toi qui s’effrite jour après jour, nuit après nuit, sans même que tu ne saches réellement pourquoi ou comment.
Tu l’observes et tu espères secrètement qu’elle ne va pas te fermer la porte au nez sans même écouter ta requête. Tu ne sais pas quel est son caractère mais, beaucoup de personnes prennent un peu la grosse tête lorsqu’un brin de célébrité les abrites.
Mais ça n’a pas l’air d’être son cas.
Alors tu approches, délicatement, presque discrètement. Alors qu’elle est face à toi. Mais tu as l’impression d’être dans un sanctuaire dont les dernières notes qui viennent d’être chantées résonnent encore par moment. Tu souris, poliment.
« Je me présente, je m’appelle Ombeline Delaunay, j’ai été mandaté par un bar en ville pour organiser un événement, une sorte de scène ouverte qui se clôturerait par la présence d’une personnalité. Et j’ai pensé à vous. J’aurais donc aimé savoir si ça pouvait vous intéresser et à terme, vos conditions. »
Parce qu’un budget n’est jamais illimité et que, si la jeune femme demande un cachet exorbitant, Ombeline ne pourra malheureusement pas l’embaucher. Malgré toute l’admiration qu’elle pourrait avoir pour elle.
Tu l’observes et tu espères secrètement qu’elle ne va pas te fermer la porte au nez sans même écouter ta requête. Tu ne sais pas quel est son caractère mais, beaucoup de personnes prennent un peu la grosse tête lorsqu’un brin de célébrité les abrites.
Mais ça n’a pas l’air d’être son cas.
Alors tu approches, délicatement, presque discrètement. Alors qu’elle est face à toi. Mais tu as l’impression d’être dans un sanctuaire dont les dernières notes qui viennent d’être chantées résonnent encore par moment. Tu souris, poliment.
« Je me présente, je m’appelle Ombeline Delaunay, j’ai été mandaté par un bar en ville pour organiser un événement, une sorte de scène ouverte qui se clôturerait par la présence d’une personnalité. Et j’ai pensé à vous. J’aurais donc aimé savoir si ça pouvait vous intéresser et à terme, vos conditions. »
Parce qu’un budget n’est jamais illimité et que, si la jeune femme demande un cachet exorbitant, Ombeline ne pourra malheureusement pas l’embaucher. Malgré toute l’admiration qu’elle pourrait avoir pour elle.
(c) kendall
- Kurei Kenaku
- Arrivée : 25/08/2018
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Re: ⌈ k u r e i ⌋ What's wrong with being confident ?
Sam 1 Sep - 1:43
La jeune femme semblait tendue, alors Kurei tentait de la rassurer silencieusement en lui souriant tendrement. Mais ça ne semblait pas forcément fonctionner...
« Je me présente, je m’appelle Ombeline Delaunay, j’ai été mandaté par un bar en ville pour organiser un événement, une sorte de scène ouverte qui se clôturerait par la présence d’une personnalité. Et j’ai pensé à vous. J’aurais donc aimé savoir si ça pouvait vous intéresser et à terme, vos conditions.
- Une scène ouverte… ? »
Hmm. Ce serait très intéressant pour aider à faire connaître d’avantage le groupe… S’il l’est au sein de l’université, il était difficile de le dire pour le reste de la ville. Mais elle n’a que trop peu de détail pour le moment, et elle voit bien que son interlocutrice est… agitée. Stressée. Alors son premier objectif est de palier à cela.
« Cela m’a l’air intéressant. Mais asseyons-nous pour en parler, cette pièce regorge de places assises, il serait dommage de ne pas en profiter. »
Kurei montre les bancs présents contre les murs généralement utilisés pour y placer des instruments ou lorsqu’il y a un petit public pour certaines répétitions. Mais ne nous mentons pas, ils sont surtout utilisés par les vestes et sacs de cours.
« Il me reste du thé, il risque de ne pas être très chaud, mais cela vous détendra peut-être ? Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous manger. »
Elle saisit sa gourde thermos et deux tasses en inox puis s’installe sur l’un des bancs mis à disposition. Elle se sert une tasse avant d’en servir une pour Ombeline si elle accepte.
« Je suis déjà très honorée que je vous m’ayez tant remarquée. Mais dites-moi, pouvez-vous m’en dire plus sur l’événement que vous allez organiser ? Comme hmm… Les ateliers ou les scènes que vous voulez avoir en amont. »
Quelque chose la dérange dans son propre discours.
« Hm. Pouvons-nous nous tutoyer ? Je n’aime pas la distance qu’impose le vouvoiement. »
Le respect imposé par le langage n’est qu’un moyen d’asseoir sa supériorité. Pour une fois que tu es supérieure, tu ne veux pas profiter ?
« Je me présente, je m’appelle Ombeline Delaunay, j’ai été mandaté par un bar en ville pour organiser un événement, une sorte de scène ouverte qui se clôturerait par la présence d’une personnalité. Et j’ai pensé à vous. J’aurais donc aimé savoir si ça pouvait vous intéresser et à terme, vos conditions.
- Une scène ouverte… ? »
Hmm. Ce serait très intéressant pour aider à faire connaître d’avantage le groupe… S’il l’est au sein de l’université, il était difficile de le dire pour le reste de la ville. Mais elle n’a que trop peu de détail pour le moment, et elle voit bien que son interlocutrice est… agitée. Stressée. Alors son premier objectif est de palier à cela.
« Cela m’a l’air intéressant. Mais asseyons-nous pour en parler, cette pièce regorge de places assises, il serait dommage de ne pas en profiter. »
Kurei montre les bancs présents contre les murs généralement utilisés pour y placer des instruments ou lorsqu’il y a un petit public pour certaines répétitions. Mais ne nous mentons pas, ils sont surtout utilisés par les vestes et sacs de cours.
« Il me reste du thé, il risque de ne pas être très chaud, mais cela vous détendra peut-être ? Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous manger. »
Elle saisit sa gourde thermos et deux tasses en inox puis s’installe sur l’un des bancs mis à disposition. Elle se sert une tasse avant d’en servir une pour Ombeline si elle accepte.
« Je suis déjà très honorée que je vous m’ayez tant remarquée. Mais dites-moi, pouvez-vous m’en dire plus sur l’événement que vous allez organiser ? Comme hmm… Les ateliers ou les scènes que vous voulez avoir en amont. »
Quelque chose la dérange dans son propre discours.
« Hm. Pouvons-nous nous tutoyer ? Je n’aime pas la distance qu’impose le vouvoiement. »
Le respect imposé par le langage n’est qu’un moyen d’asseoir sa supériorité. Pour une fois que tu es supérieure, tu ne veux pas profiter ?
- Ombeline V. Delaunay
- Arrivée : 26/08/2018
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Couleur : #c8d5b4
Thèmes :
Jon Bellion - Guillotine
Ed Sheeran - Photograph
Pts : 698
→ Fait de la boxe thaï, française et anglaise.
→ Aime un peu trop les fleurs.
→ Cuisine de manière passionnée. Elle aurait du être cuisinière mais elle s'est réorientée.
→ Ne sait pas nager.
→ A une collection d'éventails.
→ Fait toujours attention à ce qu'elle porte.
→ Est paradoxale.
→ Se mord la lèvre quand elle est embêtée. Se ronge le pouce droit quand elle est stressée.
→ Est accro au café. Noir. Sans sucre.
Re: ⌈ k u r e i ⌋ What's wrong with being confident ?
Sam 1 Sep - 4:17
Puisque tu pars.
Tu es tellement tendue que ça se ressent. Et ça n’est jamais bon de passer pour une débutante, de passer pour quelqu’un qui ne sait pas ce qu’elle fait. Alors, tu observes la jeune femme qui, pourtant plus jeune que toi, semble tellement plus mature à cet instant précis. Tu lui souris, apaisée, et tu t’installes près d’elle, posant ton sac à tes pieds et croisant tes jambes. Tu peux ainsi poser tes mains croisées sur tes genoux et lui exposer ton projet.
Ce n’est pourtant pas dans tes habitudes de t’emballer ainsi pour une tâche que tu dois accomplir. Tu as vécu pire lorsque tu étais en cuisine. Mais les côtes de porc ne parlent pas, elle. Alors tu souris un peu et tu te décontractes.
« Merci beaucoup de m’écouter. »
Tu étais sincère, douce Ombeline. La jeune femme n’est pas là pour te faire du mal ou te donner du fil à retordre. Elle a même l’air intéressée et prévenante. C’est une bonne chose.
« C’est gentil merci mais je viens de finir un café ! »
Accro à la caféine, ça explique pourquoi tu as toujours besoin de t’occuper. Pourquoi tu ne peux pas rester en place. Ça explique aussi l’impression que tu donnes de stress intense.
« Bien sûr, ça ne me pose aucun souci de te tutoyer. »
Là encore, ça te rassure même. Cette fille est loin d’avoir la grosse tête et c’est clairement rassurant. Après, l’idée n’est pas de la faire travailler gratuitement, tu n’aimes pas ça. Mais quand tu n’as pas un gros budget, tu proposes parfois un paiement en nature. Oh non, pas de ce genre là – bien qu’en soi l’idée ne te dérange pas tant que ça – mais plutôt du genre nourriture, contacts, services.
« Je n’imaginais pas vraiment d’atelier. La scène ouverte c’est, en gros, une scène ou n’importe qui peu venir chanter mais pas que ! Faire des sketches ou des spectacles de magie. Tout ce qui peut se faire sur scène. Et l’idée serait d’encourager les gens à venir au café en leur promettant à la fin quelques chansons qui soient géniales ! Et c’est sur ça que j’aimerais vous voir. Parce que vous avez une voix phénoménale et que je suis sûre que vous feriez un carton ! C’est un bar qui vient d’ouvrir mais il est en plein cœur du quartier branché, et il est déjà régulièrement plein. J’ai un budget com aussi qui me permettrait de distribuer des flyers et coller des affiches pour informer les gens. Plus une page facesheet, évidemment. »
Un sourire étira tes lèvres. Tout allait mieux quand tu maîtrisais le sujet sur le bout des doigts. C’était plus simple.
« Après l’idée est de faire venir des gens qui aimeraient se faire connaître également. Du coup ça pourrait peut-être permettre des collaborations, par exemple. »
Ce n’est pourtant pas dans tes habitudes de t’emballer ainsi pour une tâche que tu dois accomplir. Tu as vécu pire lorsque tu étais en cuisine. Mais les côtes de porc ne parlent pas, elle. Alors tu souris un peu et tu te décontractes.
« Merci beaucoup de m’écouter. »
Tu étais sincère, douce Ombeline. La jeune femme n’est pas là pour te faire du mal ou te donner du fil à retordre. Elle a même l’air intéressée et prévenante. C’est une bonne chose.
« C’est gentil merci mais je viens de finir un café ! »
Accro à la caféine, ça explique pourquoi tu as toujours besoin de t’occuper. Pourquoi tu ne peux pas rester en place. Ça explique aussi l’impression que tu donnes de stress intense.
« Bien sûr, ça ne me pose aucun souci de te tutoyer. »
Là encore, ça te rassure même. Cette fille est loin d’avoir la grosse tête et c’est clairement rassurant. Après, l’idée n’est pas de la faire travailler gratuitement, tu n’aimes pas ça. Mais quand tu n’as pas un gros budget, tu proposes parfois un paiement en nature. Oh non, pas de ce genre là – bien qu’en soi l’idée ne te dérange pas tant que ça – mais plutôt du genre nourriture, contacts, services.
« Je n’imaginais pas vraiment d’atelier. La scène ouverte c’est, en gros, une scène ou n’importe qui peu venir chanter mais pas que ! Faire des sketches ou des spectacles de magie. Tout ce qui peut se faire sur scène. Et l’idée serait d’encourager les gens à venir au café en leur promettant à la fin quelques chansons qui soient géniales ! Et c’est sur ça que j’aimerais vous voir. Parce que vous avez une voix phénoménale et que je suis sûre que vous feriez un carton ! C’est un bar qui vient d’ouvrir mais il est en plein cœur du quartier branché, et il est déjà régulièrement plein. J’ai un budget com aussi qui me permettrait de distribuer des flyers et coller des affiches pour informer les gens. Plus une page facesheet, évidemment. »
Un sourire étira tes lèvres. Tout allait mieux quand tu maîtrisais le sujet sur le bout des doigts. C’était plus simple.
« Après l’idée est de faire venir des gens qui aimeraient se faire connaître également. Du coup ça pourrait peut-être permettre des collaborations, par exemple. »
(c) kendall
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